Des équipements lasers de classe IV de plus en plus puissants sont utilisés en médecine vétérinaire, mais comme nous l’avons mentionné dans le blog précédent, ce paramètre pose encore beaucoup de questions.
Il est évident que la puissance permet d’amener l’énergie fournie, c’est-à-dire les photons, en profondeur, jusqu’à un point où la densité de ces photons (soit la concentration de ces photons) est si faible qu’aucun effet de photobiomodulation ne se produit.
Une étude du Dr Bryan Stephens montre la façon dont ces photons se comportent lorsqu’ils rencontrent un milieu autre que l’air et quelle distance ces photons atteignent en fonction de la puissance.
L’étude a été effectuée à trois niveaux différents, en tenant compte des caractéristiques du corps (Internal Dosimetry : Combining simulatoin wih phantom and ex vivo measurement, Stephens et al).